Chapitre deux : Le temps des doutes…
Notre histoire commence par une frappe anodine, à Moscou. Dans l’avant-dernière minute de temps de jeu réglementaire d’un match Lokomotiv/Olympique qui a ressemblé à un supplice pour l’équipe russe. Kerk, Anjorin, appelez-le comme vous le voulez, mais en tout cas c’est lui qui a mis cette frappe. Et ramenez les deux équipes à égalité (1-1) de manière complètement inique.
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