Le PSG n’a pas de problèmes d’argent, mais il fait attention à ses dépenses également. Et les prix « made in Italy » commencent à l’agacer.
Le Paris Saint-Germain a encore les moyens de s’offrir des recrues de qualité et à prix salé, comme il l’a montré avec Hugo Ekitike et Vitinha. Mais le PSG version 2022 est bien décidé de ne pas être le dindon de la farce dans les tous les dossiers, et il a visiblement une dent contre les clubs italiens, qui ont très longtemps pourvu en joueurs la formation de la capitale française. Mais si le Milan AC, Pescara, la Roma ou Naples se sont régalés par le passé, le courant n’est pas passé avec Sassuolo, qui s’est montré trop gourmand pour Gianluca Scamacca et a donc du attendre les discussions avec West Ham plutôt que le PSG pour conclure la vente de son attaquant.
Kimpembe comme déclencheur pour Skriniar ?
Dans un autre dossier annoncé comme bouclé avant que tout ne s’écroule, le champion de France a refusé de s’aligner sur les exigences de l’Inter Milan pour Milan Skriniar. La partie de poker s’est arrêtée quand le club lombard a demandé 65 millions d’euros, puis 70 millions avec bonus, pour vendre son défenseur central. Le PSG a décidé de mettre le clignotant, laissant même le club italien discuter avec le Slovaque, d’une éventuelle prolongation de contrat.
Mais selon TMW, tout n’est pas encore fini dans ce dossier. En effet, si jamais Skriniar prolonge, un départ ne sera plus vraiment d’actualité. Mais tant que rien n’est signé, l’Inter Milan assure qu’il peut encore changer d’avis en cas d’offre folle, à hauteur de 80 millions d’euros. Se prendre un refus pour un transfert et arriver à encore augmenter le prix de son joueur, c’est le tour de passe-passe que rêve de réaliser la formation milanaise. Le PSG, qui cherche tout de même toujours un défenseur central, va avoir du mal à retrouver de l’appétit pour Milan Skriniar. Sauf en cas de vente de Presnel Kimpembe, ce qui n’est pas totalement à écarter en raison du pressing de Chelsea.